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Le Blog de l'Atelier
Cuivres et Bois !
Date :
02-12-2009
Concert de l'Orchestre Universitaire
Dans le cadre du cycle "Campus Oreille", l'Orchestre universitaire de Strasbourg avait investi la facculté de droit mardi dernier, pour un concert placé sous le signe de l'amour à l'opéra. Et pour le coup, même si une maladie mal à propos privait l'orchestre et le public des services de la soprano, le voyage fut féérique.
Après un prélude de Verdi ou l'orchestre a pu faire admirer sa pate lyrique, le public a eu le droit à un premier "tube" avec "l'Amour est un oiseau rebelle" extrait de Carmen de Bizet
Après un prélude de Verdi ou l'orchestre a pu faire admirer sa pate lyrique, le public a eu le droit à un premier "tube" avec "l'Amour est un oiseau rebelle" extrait de Carmen de Bizet
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Ophicléide SARL
France
Et là le plaisir a été grand, car croyez moi, dans quelques années quand on vous parlera de Sarah Dewald, la mezzo soprano, vous pourrez dire que vous avez vu naitre une étoile. Une facilité et un timbre déconcertants, le tout associé à une musicalité et une grace qui ne gâchent rien, le public était transporté.
Les airs s'enchainaient, et on ne pouvait qu'être ravis de la prestation de l'orchestre et de leurs acolytes d'un soir de la chorale universitaire. Quelques escales, par Don Giovanni, la Traviata, la Bohème, Rigoletto ou la Flute enchantée, et on arrivait à la Séguédille de Bizet, ou le charme de Sarah Dewald faisait à nouveau son effet.
Tout juste pouvait-on déplorer quelques faussetés passagères dans une ligne de flûte mal maîtrisée du Papageno de Mozart, mais dans l'élan de la soirée, on ne saurait faire la fine bouche. Et puis, après un concert rondement mené sous la baguette de Simon Rigaudeau, on arrivait à l'apothéose finale de "la Dona e mobile" du Rigoletto de Verdi, où Chae Hoon Beack (Tenor) récolta une ovation méritée. On en aurait presque acheté des pates ! Finalement, la soirée se conclut sur le choeur des esclaves de Nabucco, sous la baguette de Rémi Studer. Vivement le prochain épisode !
Les airs s'enchainaient, et on ne pouvait qu'être ravis de la prestation de l'orchestre et de leurs acolytes d'un soir de la chorale universitaire. Quelques escales, par Don Giovanni, la Traviata, la Bohème, Rigoletto ou la Flute enchantée, et on arrivait à la Séguédille de Bizet, ou le charme de Sarah Dewald faisait à nouveau son effet.
Tout juste pouvait-on déplorer quelques faussetés passagères dans une ligne de flûte mal maîtrisée du Papageno de Mozart, mais dans l'élan de la soirée, on ne saurait faire la fine bouche. Et puis, après un concert rondement mené sous la baguette de Simon Rigaudeau, on arrivait à l'apothéose finale de "la Dona e mobile" du Rigoletto de Verdi, où Chae Hoon Beack (Tenor) récolta une ovation méritée. On en aurait presque acheté des pates ! Finalement, la soirée se conclut sur le choeur des esclaves de Nabucco, sous la baguette de Rémi Studer. Vivement le prochain épisode !
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